Face aux nouvelles dynamiques économiques mondiales, l’investissement immobilier international s’impose de plus en plus comme une démarche pertinente et proactive. Il ne s’agit pas de tourner le dos au marché français, mais bien d’ouvrir le champ des possibles, en s’appuyant sur des géographies complémentaires, des fiscalités optimisées et des marchés encore porteurs.

Voici pourquoi investir à l’étranger peut aujourd’hui renforcer durablement votre stratégie patrimoniale - et comment s’y prendre concrètement.

Pourquoi investir à l’étranger?

Rechercher des rendements plus dynamiques

Dans plusieurs régions du monde, il est encore possible d’atteindre des rendements locatifs bruts de 8 à 15 %, notamment en courte durée. Cette performance s’appuie souvent sur une demande touristique constante, un coût d’acquisition modéré, et des charges locales réduites. Cela permet à l’investisseur d’envisager des cash-flows nettement positifs, y compris avec financement - dans les destinations où cela est accessible.

Diversifier son exposition géographique

En élargissant son périmètre d’investissement à l’international, on peut réduire sa dépendance à un seul marché immobilier. C’est un moyen de sécuriser son patrimoine face à des changements législatifs, fiscaux ou conjoncturels localisés. Diversifier, c’est lisser le risque, mais aussi saisir des opportunités là où elles émergent.

Optimiser sa fiscalité en fonction des conventions internationales

Certains pays proposent des dispositifs particulièrement intéressants pour les investisseurs non-résidents. Absence d’impôt sur le revenu locatif, droits de propriété facilités, fiscalité allégée sur les plus-values : il est possible de structurer un montage patrimonial optimisé, en fonction de votre lieu de résidence fiscale.

Se créer de la flexibilité

Posséder un bien à l’étranger, c’est aussi se donner des marges de manœuvre : l’utiliser ponctuellement, l’exploiter en location, ou le transmettre. C’est une manière de se projeter autrement, tout en conservant une logique d’investissement rigoureuse.

Cinq destinations à fort potentiel en 2025

Bali (Indonésie)

Le marché balinais attire un nombre croissant d’investisseurs séduits par son rendement élevé, sa croissance touristique continue et un coût d’entrée accessible. Le modèle d’achat repose généralement sur un leasehold de 25 à 30 ans, renouvelable, ce qui nécessite un accompagnement juridique rigoureux. En contrepartie, les villas bien situées génèrent une rentabilité nette estimée entre 10 et 15 %.

Dubaï (Émirats arabes unis)

La ville propose un environnement ultra favorable aux investisseurs : pleine propriété, 0 % d’impôt sur les loyers, cadre juridique très sécurisé. Le marché locatif y est actif toute l’année, notamment dans les quartiers comme Dubai Marina, Business Bay ou JVC. L’investissement à Dubaï s’inscrit dans une logique de valorisation à long terme, appuyée par des infrastructures modernes et une croissance urbaine soutenue.

Marrakech (Maroc)

Avec sa proximité géographique, son attractivité touristique et son cadre réglementaire stable, le Maroc offre de belles perspectives pour les investisseurs francophones. Les prix d’entrée restent modérés, notamment à Marrakech, Agadir ou Essaouira. La fiscalité est encadrée et des conventions bilatérales avec la France évitent la double imposition.

Thaïlande

Phuket, Koh Samui ou Chiang Mai attirent chaque année des milliers de touristes et d’expatriés. Le marché locatif reste très dynamique, avec des rendements bruts souvent supérieurs à 8 %. L’investissement y est possible sous certaines conditions (leasehold, sociétés locales, achat dans des complexes gérés), et nécessite une bonne compréhension du cadre légal.

Costa Rica

Réputé pour sa stabilité politique et sa politique environnementale ambitieuse, le Costa Rica devient une destination stratégique pour les investisseurs internationaux. Les zones côtières comme Santa Teresa ou Nosara connaissent une forte demande. L’achat y est possible pour les étrangers, avec une fiscalité douce, notamment sur les revenus locatifs issus de l’étranger.

Structurer un projet immobilier. Investir Ailleurs vous accompagne.

Comment structurer efficacement son projet

Pour sécuriser un investissement à l’étranger, il est essentiel de poser une stratégie claire dès le départ.

  1. Définir votre objectif : cherchez-vous du rendement, un usage mixte, une plus-value?

  2. Analyser le marché local :  quelles sont les tendances économiques ? Les perspectives de valorisation ? Le cadre légal est-il favorable aux étrangers ?

  3. Choisir une structure adaptée :  investir en nom propre, via une société locale ou une holding internationale ? Chaque option a des implications fiscales et patrimoniales.

  4. S’entourer d’experts fiables jusqu’à la signature : avocat local, agent indépendant, notaire, fiscaliste.

  5. Optimisation patrimoniale : anticiper les moments clés pour acheter, revendre ou réorganiser vos actifs en fonction des cycles du marché, de votre situation fiscale ou de votre objectifs long terme.

En résumé

Investir dans l’immobilier à l’étranger ne se limite pas à rechercher une rentabilité plus élevée. C’est une démarche structurée, qui permet de diversifier son patrimoine, de réduire son exposition aux risques locaux et de capter les dynamiques de croissance là où elles émergent.

Des destinations comme Bali, Dubaï, le Maroc, la Thaïlande ou le Costa Rica offrent des contextes économiques distincts, mais partagent un atout commun : des conditions d’entrée attractives pour les investisseurs bien informés, dans des environnements réglementaires stabilisés.

Dans cette logique, Investir Ailleurs s’inscrit comme un partenaire stratégique, en facilitant l’ensemble du parcours : de l’acquisition à la gestion, en passant par l’optimisation et la valorisation de votre patrimoine immobilier à l’international.